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  • La valeur unique des relations Chine-Europe

    La visite du président Xi Jinping en France, en Serbie et en Hongrie constitue une réussite importante dans l’approfondissement des relations avec ces trois pays dans un contexte historique critique. De même, c’est une puissante force motrice pour remettre les relations sino-européennes sur les bons rails à une époque cruciale. Si la Chine et l’Europe peuvent s’en tenir à l’intention initiale de la coopération, clarifier la direction du gagnant-gagnant et renforcer leurs intérêts communs, toutes deux pourront tenir ferme dans un contexte changeant et parvenir à un développement plus élevé, plus large et plus profond, pour montrer leur valeur unique dans une époque changeante. 

    « Ethereal Life in Paris: A World Tour Exhibition with Henri de Toulouse-Lautrec » présente la collection la plus complète d’objets liés à l’artiste au Monument du millénaire de Chine à Beijing, le 20 avril 2023. 

    La capacité de renforcer la communication stratégique sur la base d’une connaissance des mérites historiques et d’établir un consensus stratégique de partenariat et de coopération plutôt que de division et de confrontation reflète le haut degré de confiance mutuelle stratégique que doivent avoir les relations Chine-UE. De l’intention initiale de la Chine et de la France d’établir des relations diplomatiques il y a 60 ans, à l’amitié à toute épreuve entre la Chine et la Serbie et à l’héritage historique de traitement sur un pied d’égalité entre la Chine et la Hongrie, les relations Chine-UE peuvent être élevées à un haut niveau de confiance stratégique mutuelle, qui découle de la compréhension mutuelle entre la Chine et l’Europe d’un monde multipolaire. Le consensus clair sur la promotion de la mondialisation et le maintien du multilatéralisme découle de l’opposition commune des deux parties à l’ordre unipolaire et hégémonique et au modèle de division et d’affrontement. Face aux changements et au chaos, les relations Chine-UE doivent accumuler davantage de bases stratégiques et affiner des contenus plus stratégiques capables de résister à l’épreuve du temps. 

    L’élargissement des intérêts communs dans le consensus visant à renforcer la coopération pratique et à aider les relations économiques et commerciales à revenir sur la bonne voie de la coopération pratique sans emprunter la voie du « découplage », de la « rupture des chaînes » et de l’« atténuation des risques » reflète l’ampleur que doivent avoir les avantages mutuels économiques et commerciaux sino-européens. La Chine et la France doivent améliorer leur coopération traditionnelle dans le nucléaire civile et l’aéronautique, et élargir leur coopération dans les secteurs émergents comme les énergies nouvelles, l’agroalimentaire, les biotechnologies et l’intelligence artificielle. La coopération Chine-Serbie et Chine-Hongrie doit prendre appui dans les infrastructures, la fabrication et l’énergie et passer aux secteurs vert, numérique et financier. Tout cela reflète la puissance endogène et la forte résilience de la coopération économique et commerciale Chine-UE. En adhérant aux principes de complémentarité, en avançant à contre-courant de la politisation, de la sécurisation et de l’idéologisation des relations économiques et commerciales, la coopération économique et commerciale Chine-UE peut continuer à effectuer des percées pour des possibilités infinies. 

    Espace d’exposition « Tourisme Européen » au Salon professionnel du voyage 2024ITB à Shanghai, le 27 mai 2024 

    La promotion des échanges culturels entre les peuples a permis d’établir une compréhension mutuelle rationnelle et globale afin de construire une opinion publique saine et positive, démontrant le contenu et la profondeur en termes de civilisation que doivent avoir les relations Chine-UE. L’apprentissage mutuel et l’intégration culturelle entre la Chine et la France couvrent la littérature, le théâtre, la musique, la peinture, le sport et le tourisme. L’acceptation mutuelle et la proximité entre la Chine et la Serbie, ainsi qu’entre la Chine et la Hongrie, transcendent le temps et l’espace et sont profondément enracinées dans le cœur des deux pays. Les relations sino-européennes sont un exemple remarquable de profond héritage culturel et de fort soutien public. La Chine et l’Europe ont toutes deux une forte estime d’elles-mêmes sur le plan culturel et une forte fierté sur le plan de la civilisation. Ce n’est qu’en comprenant et en appréhendant les relations Chine-UE dans la perspective de promouvoir le progrès commun de la civilisation humaine que nous pourrons continuer à surmonter les différents pièges qui créent l’isolement, les différends et la confrontation, que nous pourrons constamment résister aux tentations de franchir les limites de la civilisation pour obtenir des bénéfices concrets, afin de devenir ensemble une force constructive et motrice pour créer un monde meilleur. 

    Cette année, l’Europe sera confrontée à des épreuves majeures de conflits externes persistants et de changements politiques internes. Sa capacité à établir une vision du monde, un ordre et un concept de développement corrects, et à mettre en œuvre des politiques intérieures et étrangères raisonnables, pragmatiques et efficaces déterminera l’attitude et la mentalité qu’adoptera l’Europe pour faire face aux changements internes et externes. Sur la base de la reconnaissance de l’orientation du développement d’un monde multipolaire, l’Europe doit abandonner progressivement la vision du monde centrée sur l’Occident, la vision de l’ordre selon laquelle l’Europe et les États-Unis unissent leurs forces pour dominer le monde, et la vision du développement du protectionnisme. Il est nécessaire que l’Europe puisse parvenir à de nouvelles compréhensions, fasse le tri et trouve des partenaires dignes de confiance et fiables dans la nouvelle ère. 

    La visite du président Xi en Europe guide les relations Chine-UE dans une nouvelle étape et incarne une valeur unique. Tant que la Chine et l’UE pourront trouver le juste milieu, leurs relations pourront non seulement aider l’Europe à trouver un partenaire de confiance stratégique mutuel plus digne de confiance au-delà de l’alliance transatlantique, mais aussi promouvoir les cessez-le-feu et cesser les guerres de manière plus rationnelle et pragmatique, et rétablir la paix en Europe. Cela permettra également d’aider l’Europe à accroître régulièrement ses intérêts économiques en dehors du Marché unique et à réaliser une transition énergétique et une modernisation industrielle de manière plus équitable et durable. Cela pourra enfin aider l’Europe à explorer la civilisation humaine au-delà de l’expérience occidentale et à comprendre la direction de son propre développement de manière plus complète et plus profonde.

    CUI HONGJIAN est professeur à l’Université des langues étrangères de Beijing et directeur du Département d’études européennes à l’Institut chinois d’études internationales. 

     

     

  • Dialogue n°12 : l'axe central de Beijing

    Dialogue Chine France n°12, Chine, Beijing, Pékin, Axe central, patrimoine

    • Dialogue Chine-France n°12
    • Genre : Revue / Magazine
    • Format : 17,3 x 25,5 cm
    • Nombre de pages : 84
    • Été 2022

     

    Avec ses sept sites du patrimoine culturel mondial, Beijing est la capitale qui en possède le plus grand nombre dans le monde. Et la capitale chinoise compte maintenant inscrire l’Axe central de Beijing à l’UNESCO. 

    L’Axe central de Beijing est une suite de paysages urbains longue de 7,8 km du nord au sud. Des bâtiments impériaux, des édifices rituels et des espaces consacrés aux célébrations nationales, aux installations urbaines et aux marchés destinés au quotidien des gens ordinaires, tout forme un ensemble intimement lié. On y retrouve en concentré la diversité et la richesse du vieux Beijing, son élégance symétrique, ainsi que l’agencement traditionnel de l’espace destiné à la cour au sud et au commerce au nord. Il reflète l’urbanisme des dynasties des Yuan, des Ming, des Qing, et de la période moderne, lui conférant une valeur culturelle unique. 

    En 2012, l’Axe central de Beijing a été inclus dans la Liste préliminaire du patrimoine culturel mondial en Chine. Ces dernières années, Beijing a accéléré le processus de demande d’inscription de l’Axe central à l’UNESCO. En 2021, le texte de candidature de l’Axe central de Beijing a été approuvé par le Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO et il a été soumis à l’Administration d’État du patrimoine culturel par le gouvernement municipal de Beijing. 

    Beijing a toujours accordé une attention particulière à la protection d’ensemble du patrimoine urbain. Le Règlement sur la protection des sites historiques et culturels de Beijing promulgué en 2021 couvre toute la capitale. La protection de l’agencement urbain du vieux Beijing met en valeur ses particularités spatiales agréables, ouvertes, majestueuses et ordonnées. 

    Pour protéger et gérer le patrimoine culturel de l’Axe central de Beijing, et promouvoir sa transmission et son développement durable, le Règlement sur la protection du patrimoine culturel de l’Axe central de Beijing a été adopté le 25 mai 2022, après des années de délibération. Il entrera en vigueur le 1er octobre prochain et fournira la garantie juridique nécessaire pour protéger l’Axe central de Beijing, assurant son authenticité et son intégrité. 

    Le processus de candidature a aussi fait appel à la participation du public dans un esprit de partage. La rénovation des anciens quartiers et la gestion environnementale des artères ont non seulement ranimé la mémoire historique et culturelle commune des Pékinois, mais également amélioré les conditions de vie dans le vieux Beijing. Les activités liées à l’histoire et à la culture de l’Axe central de Beijing ont visé la jeune génération, et les plateformes numériques et en ligne ont également permis de surmonter les obstacles physiques pour mieux découvrir les sites. 

    L’Axe central de Bejing, c’est une histoire avec un avenir. La protection et la candidature à l’UNESCO lui redonnent une nouvelle vitalité tout en transmettant au monde les concepts esthétiques et d’harmonie de la Chine. 

     

    Ont participé à ce numéro : LU RUCAI (membre de la rédaction), CHEN MINGJIE (directeur du Bureau municipal du patrimoine culturel de Beijing), JIANG BO (professeur à l’Université du Shandong et vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) pour la Chine), LÜ ZHOU (professeur et directeur du Centre du patrimoine national relevant de l’Université Tsinghua), LI WEIWEN (chercheur en histoire de l’architecture et de l’urbanisation en Chine, post-docteur au Musée du Palais), GEORGIES SROUR (urbaniste français qui a fait des études en architecture à Beijing, puis en sinologie et en relations internationales à Paris), WANG HONGBO (chercheur adjoint à l’Institut d’histoire de l’Académie des sciences sociales de Beijing) , WANG CHONGCHEN (professeur à l’École d’ingénierie environnementale et de génie énergétique à l’Université de génie civil et d’architecture de Beijing),  LARS ULRIK THOM (fondateur de Beijing Postcards), PENG TIAN (héritière représentative du patrimoine culturel immatériel (PCI) au niveau national des « figurines en farine de la famille Peng »), HUGO MATHE (doctorant à l’Université de Pékin, SONG ZHUANGZHUANG est co-fondateur du Studio Diduhui), FRANCESCO BANDARIN (architecte italien, ancien directeur du Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO et ancien sous-directeur général de l’UNESCO pour la culture), LIU TING (membre de la rédaction), ZHANG JINLING (chercheur à l’Institut d’études européennes relevant de l’Académie des sciences sociales de Chine, et secrétaire général du Centre de recherches sur le marxisme et la civilisation européenne) , HOU XUE (maître des arts et métiers de Beijing et héritier national de la technique de la laque incrustée d’or), ZHANG SHIQIAN (concepteur visuel, promoteur de la culture traditionnelle de Beijing), SONG ZHENZHON (crieur, passionné du folklore du vieux Beijing), YAN LONG (Professeur à l’École d’art et de design de l’Université de technologie de Beijing, et créateur de Scènes de l’Axe central de Beijing), CAO JINGZHOU (directeur du comité d’experts du Centre de recherche sur la culture de l’Axe central, à l’Institut de recherche sur le développement urbain de Beijing). 

  • Dans l'ombre du fils du ciel

    Laurent Cibot, ombre du fils du ciel, livre, chine, france, dialogue Parution du livre de Laurent Cibot, Dans l'ombre du fils du ciel ou le destin extraordinaire de Pierre Martial Cibot jésuite à la cour de l'Empereur de Chine au XVIIIe siècle. Ce livre est un pont tisser entre deux cultures : celle française et celle chinoise. Il met en évidence les difficultés rencontrées par les premiers jésuites en Chine qui essayaient de comprendre la civilisation chinoise. 

    Que savons-nous de la Chine ? Comment cette connaissance nous est-elle parvenue ? Il est passionnant de découvrir le destin extraordinaire de Pierre Martial Cibot, un jésuite à la cour de l'empereur de Chine au XVIIIe siècle. 

    Comme le souligne Jean-Pierre Raffarin dans la préface de ce livre "on a du mal à imaginer aujourd'hui des débats qui ont pu animer les sociétés européennes du XVIIe et du XVIIIe siècles, e n France et en Angleterre notamment, sur le régime politique chinois. Les partisans des Lumières comme Voltaire ou John Locke, opposaient les moeurs politiques et le pouvoir jugé excessif de leurs monarques, au gouvernement éclairé des Empereurs de Chine, avec une administration de mandarins bien formés et dévoués à l'intérêt général, qui tempéraient leur pouvoir en filtrant les décisions qu'ils devaient prendre". Découvrir ce que fit, en son temps, Pierre Martial Cibot, nous permet de mesurer l'écart de nos civilisations, mais aussi leurs ressemblances. Il est passionnant de lire son érudition, sa capacité à nous inciter à avoir l'esprit curieux envers la Chine. Nous sommes ainsi éblouis par ce que les jésuites ont su apporter tant à la Chine qu'à la France. Un savoir, une transmission dont il est plus que nécessaire aujourd'hui de faire revivre. Le travail de Laurent Cibot est ici fantastique, et l'on comprend sa volonté de retrouver les traces de son ancêtre.

  • Dialogue n°8 : L’île de Gulangyu, une coexistence pacifique des cultures

    L’île de Gulangyu,Chine,  coexistence, pacifique, cultures, EuropeL’île de Gulangyu, une coexistence pacifique des cultures

    Du 16 au 31 juillet 2021, la 44e session du Comité du patrimoine mondial se tiendra en ligne à Fuzhou (Fujian). La Chine a adhéré à la Convention de l’UNESCO pour la protection du patrimoine mondial culturel et naturel en 1985. Depuis 1987, on compte en Chine au total 55 biens inscrits (au premier rang mondial), dont 37 sont des biens culturels, 14, des biens naturels, et 4, des biens mixtes. Dans le cadre de la Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel, la Chine a amélioré sa réglementation sur la protection du patrimoine mondial. Chaque site a publié des règlements et promulgué des mesures de protection adaptées.

    Prenons l’exemple du 52e bien inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de la Chine : « Gulangyu: communauté internationale et historique ». Xiamen a procédé à la révision de la législation locale, à l’amélioration des normes de rénovation, et a mis en place des procédures d’approbation strictes et des plans de protection. Un système de protection et de gestion complet a ainsi été établi pour assurer le développement durable du patrimoine historique.

    Afin de mieux promouvoir les échanges et le dialogue entre la Chine et la France, plus d’une dizaine de personnalités des deux pays ont discuté fin avril sur la protection, la transmission et la valorisation du patrimoine de l’île de Gulangyu. Des experts dans la protection architecturale ont mené un dialogue en ligne sur la façon de restaurer et de transmettre du patrimoine, de rénover les bâtiments historiques et de renforcer le niveau de protection numérique, et prodigué des conseils et des suggestions. Ils ont également encouragé le partage d’idées et les échanges d’expériences

    entre la Chine et la France dans la protection du patrimoine architectural.

    La Chine s’est engagée à améliorer son niveau de protection et de gestion des biens du patrimoine mondial et à renforcer les échanges et la coopération au niveau international, notamment en coopérant avec l’UNESCO pour créer le Centre de formation et de recherche sur le patrimoine mondial Asie-Pacifique et le Centre de technologie spatiale pour le patrimoine naturel et culturel (HIST). Des initiatives vivement saluées par la communauté internationale.

    Comme l’a dit l’ancien premier ministre français Jean-Pierre Raffarin dans son discours en ligne lors du forum « L’apprentissage mutuel entre les civilisations chinoise et française : la protection, la transmission et la valorisation de l’île de Gulangyu », l’amitié franco-chinoise est avant tout une amitié culturelle, et le respect mutuel entre deux civilisations anciennes est un trésor pour l’amitié entre les deux pays. La coopération internationale est nécessaire et les initiatives favorables au développement des relations amicales à travers la protection du patrimoine et les échanges culturels sont à saluer.

    Lu Rucai

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  • Dialogue n°7 : Accord d'investissement Chine-UE

    Dialogue, Chine, Europe, échanges économie, financeSelon Eurostat, le volume total des échanges entre Chine-UE est d’environ 586 milliards d’euros (+5,3 %). C’est historique, la Chine a dépassé les États-Unis et est devenue le premier partenaire commercial de l’Union européenne (UE). Au cours des onze premiers mois de 2020, les 27 pays de l’UE ont investi 117,98 milliards de dollars en Chine, et les investissements directs cumulés de la Chine dans ces pays ont dépassé 80 milliards de dollars.

    En juin 2020, la Chambre de commerce de l’UE et le cabinet de conseil en stratégie Roland Berger ont publié conjointement à Beijing l’Enquête de confiance 2020. Elle montre que le marché chinois est très attrayant pour la plupart des entreprises de l’UE en Chine, plus de 60 % des sondés déclarant que la Chine restait l’une des trois principales destinations pour leurs investissements. Comme l’annonce cette enquête, des entreprises européennes comme le constructeur automobile allemand Daimler et le fabricant de robots industriels HAHN Automation ont annoncé successivement une hausse de leurs investissements en Chine. Le 1er mars 2021, l’Accord sur les indications géographiques entre la Chine et l’UE est entré en vigueur, avec 550 indications géographiques (275 en Chine et la même quantité dans l’UE) concernant les alcools, le thé, les produits agricoles et les denrées alimentaires. Dans le premier lot des 100 indications géographiques, on trouve le thé Pu’er et l’alcool Moutai pour la Chine, et le Champagne français, le whisky irlandais et la bière de Munich pour l’UE. La Chine et l’UE ont également décidé de mettre en place deux mécanismes de dialogue de haut niveau dans les domaines environnemental, climatique et numérique pour entamer conjointement une coopération verte Chine-UE et un partenariat numérique. Fin 2020, les négociations sur l’Accord global sur les investissements Chine-UE ont pris fin. Comme l’a souligné la présidente de la Commission européenne Ursula vonder Leyen, cet accord « offrira un accès sans précédent au marché chinois pour les investisseurs européens, permettant à nos entreprises de se développer et de créer des emplois ».

    Ce numéro s'attèle en mettre en évidence l'importance de ces liens entre l'Europe & la Chine.

     

    Ont participé à ce numéro :  Sonia Bressler,  Zhou Jinzhu (directeur adjoint et chercheur associé du Département de recherche sur le commerce international au Conseil chinois pour la promotion du commerce international (CCPIT) ), YAN WEIJUAN (journaliste à La Chine au présent), YAO LING (directrice de l’Institut de l’Europe de l’Académie chinoise du commerce international et de la coopération économique relevant du ministère du Commerce), AUGUSTO SOTO (directeur du projet Dialogue avec la Chine),  NICOLAS ZINQUE(journaliste à La Chine au présent), JIN XIN (secrétaire général de l’Alliance de coopération internationale des think tanks de « la Ceinture et la Route »), CUI HONGJIAN (directeur du département des études européennes à l’Institut chinois des études internationales), David Gosset (fondateur du Forum Europe-Chine), FRANCISCUS CORNELIS GERARDUS MARIA TIMMERMANS (vice-président exécutif en charge du Pacte vert pour l’Europe à la Commission européenne),  YANG JING (fondateur de la marque Bonjour Brand et de la société Bonjour Shanghai),  LU RUCAI  (rédactrice en chef),  ZHANG GUOBIN (ancien consul général de Chine à Strasbourg et directeur adjoint de The Charhar Institute), JACQUES FOURRIER (journaliste français basé à Beijing depuis 25 ans), JIA TSE RING (jeune chercheur, titulaire d’une maîtrise en philosophie du bouddhisme tibétain), HOU WENWEN (journaliste à Tianfu Culture),  GUO ZHIDONG (chercheur en culture traditionnelle chinoise au Musée de la cour n°93), Cheng ShanyanAnaëlle Shahar (manager dans le numérique, master en communication numérique),  SÉBASTIEN ROUSSILLAT (traducteur professionnel)